ORGANES FLORAUX PARTICULIERS

Une installation autour de la disparition. Ce ressenti est rattrapé par l’éternel renouvellement.

Le corps représenté sur la toile est une suggestion de notre corps border-line, il est entouré de bourgeons : expression de la renaissance, du cycle de la vie. Une reconstruction de notre corps possible par la force des mémoires, puisé dans les racines trans-générationnelles.

La peinture centrale pose est un instant capturé. Une introspection. Les photographies satellites de la peinture centrale sont des bourgeons dynamiques. Une approche cinématographique. Un présent cinétique où le mouvement de la vie l’emporte. La toile contraste avec les photographies. La conversation crée le CHOC et la PRISE DE CONSCIENCE.

Les photographies représentent des images de la forêt en accéléré afin de créer le flou, l’invisible, l’indescriptible énergie du vivant… la forêt semble dépossédée. Aujourd’hui l’urbanisation nous apparait comme un organe éloigné de l’humain alors qu’elle le ressource.

Cette installation invite à mieux percevoir l’état général de notre Terre. Le flou une tentation de crier le déni de la réalité de ce qui se déroule : la disparition des espèces, la fragilité du règne animal et végétal. La mère nourricière au centre. Immutable, invite à diriger le regard vers cette mutation inconsciente.

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